Double énonciation
Masques dans la nuit
Visages inlassablement répétés
La maison d’Hensor me regarde
histoires enpoèmées
Faire le tour d’une île
écouter ses mythes
les vaines
de l’eau salée
Le caoutchouc
ne se dégrade pas
Fabuler c'est composer un récit qui se construit à mesure qu'il s'énonce.
La narration se fait au rythme de la vision. Alors c'est se déplacer en pensée d'abord, et puis déplacer la pensée vers une réalité de la fable.
Sans début ni fin.
Un fragment parmi le vide.
Cette trace représente le temps, l'espace abolis. Peut-on faire du cyclisme un apologue ?
Je peignais des itinéraires erratiques fondés sur la recognition de lignes.
La trace cycliste était luminescente.
Une carte mémoriphique.
Des patchs – des médailles.